Ce blog est destiné à présenter le travail d'un jeune auteur, Godus, dessinateur féru d'Histoire qui a choisi de faire connaitre par la bande dessinée le parcours des volontaires étrangers francophones de l'arme allemande pendant la seconde guerre mondiale.

Dans un premier temps, l'auteur avait choisi de faire connaitre le parcours des volontaires français à travers celui du jeune Étienne, jeune volontaire engagé dans la division Charlemagne. Cette série devait initialement regrouper neuf albums, aujourd’hui elle en comporte douze ! Découvrez l'histoire de ce jeune français à l'itinéraire atypique durant la Seconde guerre Mondiale en parcourant ces bandes dessinées en couleur de 45 pages, disponibles directement auprès de l'auteur.

Mais l'auteur ne pouvait s'en arrêter là, d'autres nations ont fourni des corps de volontaires. Tout d'abord des francophones, les Wallons, auxquels Godus consacrera également quatre ouvrages. Puis d'autres volontaires, comme les flamands ou les espagnols.

A peine terminé ces ouvrages, d'autres nations seront bientôt représentées et ce qui s'appelait jusqu'à il y a peu une "jeunesse française" devrait bientôt devenir une "jeunesse européenne".

Une jeunesse française - Tome 6

"Poméranie 1945"

La Poméranie, vieille terre germanique, est en feu. Les frontières du Reich sont enfoncées à l’Est. Plus que jamais désormais, l’Allemagne a besoin de soldats pour pouvoir endiguer le raz de marée rouge qui menace de tout emporter sur son passage. La division « Charlemagne » est à son tour engagée dans la bataille. Ses hommes, aux origines, mobiles et caractères si différents, mais néanmoins entraînés au combat selon les méthodes impitoyables de la SS, montent en ligne. C’est au pire moment de l’offensive russe que ces soldats, qui sont déjà des réprouvés dans leur propre pays libéré de l’occupation allemande, sont jetés dans la fournaise pour faire honneur à leur serment de fidélité. De plus en plus décimés et démunis en ces derniers mois de lutte, pour eux la guerre continue. Dans cet album, l'auteur évoque également l'engagement des volontaires lettons, qui pour certains ne déposeront les armes qu'en 1952.